Au cœur de Deva, dans la verdoyante province de Gipuzkoa, s’élève un monument mystérieux : le disco abandonné Txitxarro. Ancien temple du rythme et des nuits électriques, ce vestige sonore figé dans le temps suscite une fascination particulière chez les amateurs d’urbex et d’histoire musicale. En arpentant ses couloirs oubliés, on plonge dans un univers où l’écho du dancefloor semble murmurer encore des secrets de piste et où chaque fresque murale raconte une époque révolue. Ces rivages oubliés de la fête, envahis par les graffitis colorés et les ombres des projecteurs fantômes, sont aujourd’hui un théâtre de renaissance nocturne pour tous les explorateurs intrépides. Le Txitxarro offre une expérience unique, entre frissons et émerveillement, invitant à revisiter les sons perdus d’un passé vibrant.
Exploration captivante du disco abandonné Txitxarro à Deva
Découvrir le Disco Mystère Txitxarro, c’est, avant tout, une immersion dans une atmosphère chargée d’histoire et de mélancolie. Autrefois haut lieu de la fête dans les années 70 à 2000, ce disco a vu défiler des milliers de danseurs sous ses projecteurs fantômes, aujourd’hui éteints mais dont l’aura demeure palpable. À travers mes explorations, j’ai perçu :
- Une architecture singulière : murs salis par le temps, décors en décomposition et vestiges sonores qui témoignent d’une époque révolue.
- Une ambiance palpable : l’odeur du bois ancien, le froid discret des nuits éteintes, et des graffitis multicolores qui éclatent comme des souvenirs figés.
- Le mystère des lieux : des salles explorées où l’écho du dancefloor filtre encore à travers le silence, accentuant la sensation d’un voyage dans le temps.

Chaque pas dans ce lieu révèle des détails fascinants et un décor presque cinématographique, semblable à ces autres vestiges abandonnés en Occitanie ou encore des sites comme le Lille secrète.
Vestiges sonores et ambiance d’un autre temps
Le Txitxarro, construit au tournant des années 70, a longtemps servi de cadre à des nuits de fête mémorables. En arpentant ses couloirs, on ressent encore l’énergie déchaînée d’une nuit électrique qui ne se laissait jamais éteindre. Détails observés lors de ma dernière visite :
- Ancien matériel audio : des enceintes maintenant muettes, entourées de câbles emmêlés et de poussière.
- Graphismes historiques : fresques murales évoquant les soirées légendaires et des slogans inscrits dans la pierre pour ne pas oublier.
- Objets abandonnés : verre cassé, flacons de boissons, vestiges d’une fête figée dans le temps.
Ces éléments me rappellent la richesse culturelle similaire retrouvée au Disco abandonné Txitxarro mais aussi dans des espaces comme les Fairyglens d’Île de Skye.

Secrets de piste et récits enfouis du Txitxarro
L’histoire de ce disco est jalonnée d’anecdotes fascinantes, souvent mystérieuses, qui s’entrelacent avec le souvenir de la scène musicale basque. Ancien repaire de mélomanes et danseurs passionnés, le Txitxarro fut aussi le témoin de la transformation des cultures nocturnes. Voici quelques pistes pour comprendre son mystère :
- Une référence culturelle : Selon des sources détaillées comme l’histoire compilée par Wololo Sound, ce disco fut un symbole fort pour la communauté locale.
- Une vie mouvementée : De rave underground en soirées à thème, il accueillait aussi des événements sportifs notamment liés au cyclisme, typiques de la région.
- Une fermeture brusque : Le silence soudain qui s’est imposé se mêle au poids des souvenirs et aux nombreuses légendes urbaines qui courent encore.
Pour prolonger cette plongée historique, on peut consulter également les archives collaboratives disponibles sur Wikipedia ou explorer la discographie et les productions sur les plateformes spécialisées telles que Discogs.

La redécouverte d’un lieu mythique pour l’urbex
Alors que les projecteurs ont laissé place à l’obscurité et au silence, l’explorateur urbain se faufile avec excitation dans le labyrinthe du Txitxarro. Chaque pièce racontant ses vestiges sonores invite à une réflexivité sur la mémoire collective et la nature éphémère des lieux de fête. Voici ce que j’ai pu vivre :
- Le frisson de la découverte : ressentir la poussière dans l’air et l’émotion d’être seul face à ce passé presque palpable.
- L’observation des détails : graffitis, traces d’usure, vestiges des équipements et mobiliers qui résistent à l’oubli.
- Un voyage dans le temps : sensations contrastées mêlant nostalgie et curiosité, où le passé semble vibrer dans un silence figé.
Il n’est pas sans rappeler d’autres lieux urbex célèbres, comme l’ancienne discothèque abandonnée Malloak à Lekunberri (découvrez ce site) ou même des expériences hors du commun à Tokyo Disney Sea (pour les passionnés de lieux secrets).


